Entretien avec Marbella Unique Properties

La saison estivale se termine, et avec cela à Marbella Unique Properties, nous avons décidé de rappeler l’une des interviews que nos fondateurs ont faites il y a justement un an. Nous vérifions quelles étaient les pensées et attentes sur des problèmes tels que le Brexit, la prévision du marché immobilier pour 2017, le type de client qui se trouve à Marbella et ses propriétés étoiles. Dans ce bref résumé de l’interview menée par la télévision de la ville de Marbella, répondront aux questions Lucio et Yolanda.

E: Bonsoir à tous, aujourd’hui, nous sommes avec deux personnes dédiées au marché immobilier de Marbella, qui nous aideront à découvrir comment ce travaille secteur, que avec le tourisme sont les moteurs économiques les plus importants de la Costa del Sol, et même de l’Andalousie. Ils sont Lucio González et Yolanda López, merci beaucoup d’être venus. 

L et Y: Bonsoir, merci de nous avoir invité.

E: Nous avons remarqué qu’il existent deux mots clefs qui définissent le marché de l’immobilier que sont le Brexit et le Plan de General de Développement Urbaniste (PGOU) qui a été annulé récemment (2016) et nous continuerons donc avec PGOU de 1986 au moins encore pour quatre ou cinq ans. Pendant ce temps, il semble que le retour à l’option de 86 est bénéficiant pour certains.

L: Oui, il est vrai que certains ont été bénéficiés, que c´est la paradoxe de l’annulation du plan, puisqu’il a laissé approximent 16 000 propriétés en « stand-by », mais d’autres personnes ont été bénéficiés.

E: Et le Brexit? Cela nous pose-t-il une situation tendue?

L: Eh bien, Marbella est une ville très internationale, nos amis britanniques nous adorent et nous les adorons à eux, mais il est vrai qu’il a ralenti le marché un peu entre les Britanniques et Marbella. Il a laissé certaines personnes conscientes de ce qui se passera et comment la sortie évoluera avant de méditer la décision d’un achat.

E: Comment se passe-t-il dans la journée quotidienneté après ces événements?

Y: La journée quotidienneté est très bon. Si bien c’est vrai, comme Lucio dit, que le marché a ralenti parce que, avec ces deux points que nous parlons maintenant, les acheteurs sont un peu plus prudents quand il s’agit d’investir. Mais encore la situation est très positive et, en ce qui concerne les dernières années de crise, nous voyons qu’il y a un marché qui se déplace et qu’il y a des investisseurs très sérieux qui veulent encore venir à Marbella.

E: Il y a eu une chose qui m’a rendu curieux lorsque j’ai lu certains rapports avant  de cette interview, dans ces rapports on faisait mentionne aux Britanniques en regards du  problème du Brexit, mais pas aux clients russes. Qu’est-ce qui leur est arrivé?

L: Les Russes étaient les clients étoiles pendant la crise de 2008 et pourtant quand la crise a « disparu » ont également disparu. Pas littéralement, parce qu’ils sont encore là, Marbella est une ville très russe et vous pouvez l’apprécier dans nos rues.

Y: Eh bien, il est vrai qu’il y avait beaucoup de clients russes à certain moment, beaucoup d’investisseurs qui achetaient à la fois comme investissement et pour leur résidence, mais un moment d’inflexion dans leur économie les a fait ralentir un peu. Et cela nous a ouvert sur d’autres marchés, il existe actuellement de nombreux clients nordiques, belges, néerlandais et français … Les clients qui ont toujours été là mais qui ne étaient pas découvert.

L: Un point qui nous rend très attrayant pour les clients français ou belges est leur «vol» concernant l’imposition de leurs pays qui est beaucoup plus élevé que celui trouvé ici

E: Le secteur du luxe, de haute qualité à Marbella semble n’avoir eu aucun problème pendant les années de crise.

Y: La crise a touché tout le monde, mais pas tout le monde de la même manière, parce que le marché du luxe a une économie différente et une solvabilité différente. Marbella vend très bien le luxe, car c’est ce que nous avons vraiment. Nous avons des zones privilégiées telles que le Golden Mile, Puerto Banus, La Zagaleta, Sierra Blanca … dans lequel le prix de ses propriétés n’est pas dévalué autant parce que le prix du sol est déjà haute, a déjà l´étiquète «de luxe» pour son emplacement.

E: Il y a un point où je pense que nous devrions faire attention, et c’est le moment où l’acheteur fait un achat pour investir et ne pas pour avoir une nouvelle résidence. Pensez-vous que ce changement de tendance à Marbella peut provoquer une nouvelle bulle immobilière?

L: Marbella, d’origine, a toujours été une ville de deuxième résidence, mais c´est vrai que depuis le début de la crise dans laquelle les propriétés sont tombées en prix, est devenu plus intéressant pour de nombreux investisseurs qu’ont mis leurs yeux ici à Marbella et ont réactivé le marché.

Y: Je pense que cela a été bénéficiant et en quelque sorte, même si c´était un moment difficile de le quel nous sommes en train de sortir déjà très bien, nous a servi pour avoir une régularisation des prix. Nous étions dans une bulle immobilière où les prix s’éloignaient de la réalité et, après la crise, les prix se sont stabilisés et sont beaucoup plus intéressants pour les investisseurs, car le marché est moins volatil et les possibles rendements sont plus sûrs.

E: Et l’été à Marbella? Comment vivez-vous le marché à cette période de l’année?

L: L’été est une saison très fréquentée et avec beaucoup de travail. Les loyers commencent et même si nous travaillons beaucoup la vente, le période des locations de luxe est l’une de nos point le plus forte. C’est un moment très intéressant, c’est une source de clients qui ne sont peut-être pas actifs maintenant mais que le seront après.

Y: C’est une partie très positive de Marbella. Sans aller plus loin cette année (2016) Marbella est pleine, nous avons une occupation de près de 100%. Nous trouvons des gens qui veulent venir et les hôtels sont pleins, les appartements et les maisons sont occupés.

E: Vous avez vécu toutes les années de la crise depuis 2008. Comment avez-vous vu la situation du marché depuis lors?

Y: Oui, nous pouvons dire que nous avons été dans toutes les phases, et il y a eu des moments où nous pouvions voir un avenir compliqué, mais nous avons toujours été positifs et cela a été démontré.

L: Marbella est une ville très attrayante pour le public européen en particulier aussi dans la crise. Je crois que, à partir de l’année 2013 jusqu’à présent, nous ne pouvons pas parler de crise, nous pouvons parler d’un rythme plus lent ou plus rapide, mais ni dans le secteur du tourisme ni dans le secteur de l’immobilier, il n’y a pas de crise. Maintenant, nous trouvons de nouvelles façons de travailler.

E: Je tiens à vous remercier de cette interview et votre temps.

L & Y: Nous somme enchantées d´être ici vous remercions de nous avoir invité.

Après avoir observé l’interview, les idées et les prévisions concernant l’année 2017, les réponses de Yolanda et Lucio ne sont pas loin de la réalité. Cela confirme leur expérience acquise sur 16 ans dans le marché immobilier de la région et place Marbella Unique Properties comme l’une des meilleures agences à consulter. N’hésitez pas à nous rendre visite.