Les coûts d’achat à garder à l’esprit lors de l’achat d’une propriété

La décision d’acheter une propriété dépend à plusieurs variables. En ce qui concerne la satisfaction de nos besoins, nous évaluons des aspects tels que la taille, le style, l’emplacement, la communauté, mais certainement l’un des plus déterminants c´est le prix. Nos budgets dessinent un croquis sur la propriété que nous allons obtenir avec notre budget, mais non seulement le prix de vente ou les dépenses communautaires sont les dépenses que nous devons prendre en compte. L’hypothèque (dans le cas d’en demander un) n’est pas la seule grande dépense qui implique l’achat d’une maison. En fait, vous devez tenir en compte de plusieurs coûts et taxes auxquels il faut faire face pour posséder une propriété.  C’est par rapport à ça qu’à Marbella Unique Properties, nous avons décidé de faire un bref résumé des dépenses à prendre en compte pour clarifier tout doute possible.

Entre l’évaluation de la maison, le notaire, l’enregistrement et les taxes correspondantes (TVA, AJD, ITP …), il est recommandé d’avoir une montant extra d’au moins 13% du prix de la maison. Tous sont des dépenses obligatoires qui tournent autour de l’achat d’une maison, bien que la «facture à payer» dépende de la question d’une maison nouvelle ou d’une maison usagée et du montant de celle-ci. Nous résumons ce ci qu´est-ce que chacun d’eux comprend et quel est son les prix approximatif en 2017:

Dépenses communes dans l´achat des maisons nouvelles ou usées que sont appliquées indépendamment si on va demander ou non une hypothèque:

Le Notaire. Un autre coût à prendre en compte lors de l’achat d’une maison, nouvelle ou utilisée, est le notaire. Les honoraires des notaires, appelés tarifs, sont réglées par l’Etat et tous prennent les mêmes frais pour des services identiques. Dans le cas de l’acte d´inscription d’écriture publique de vente, les prix varient en fonction du prix du bien. Par exemple, pour un appartement de 100 000 euros, il faudrait payer moins de 700 euros, tandis que pour un de 250 000 euros on doit payer plus de 800 euros.

L´enregistrement de la propriété. Ça coûte également de l’argent pour enregistrer les actes publics signés par le notaire. Encore une fois, les tarifs sont fixés par l’Etat et dépendent directement du prix du bien.

Impôts attaches à l’achat et à la vente. L’acheteur d’une maison doit également avoir un matelas supplémentaire pour payer des taxes, bien que le montant dépende du prix de la maison et qu’il soit neuf ou de seconde main.

Dans le cas de nouvelles maisons, la taxe la plus importante est la TVA, qui en 2017 s’élève à 10%. C’est-à-dire qu’il s’agirait de 10 000 euros dans le cas d’une maison de 100 000 euros et de 25 000 euros dans le cas de 250 000 euros. Dans le cas d’un logement social (VPO), la TVA est de 4%.

A la TVA, une deuxième taxe doit être ajoutée: celle des actes juridiques documentés (IAJD). C’est un impôt qui est généré au moment de la signature avec le notaire et l’enregistrement de la propriété. Le type de taxe applicable sera déterminé par chaque communauté autonome,  mais en termes généraux, il serait entre 0,5% et 1,5% du montant de la vente.

Au contraire, pour les maisons utilisées, l’impôt le plus important c´est l´impôt sur les transmissions patrimoniales (ITP). Dans ce cas, le montant dépend du pourcentage appliqué sur la valeur comptable et de la communauté autonome dans laquelle se trouve la propriété, mais généralement un taux compris entre 6% et 10% est appliqué. Cependant, pour les VPO, les familles nombreuses et jeunes ont tendance à avoir des taux réduits.

L´administrateur, une dépense optionnelle. Le seul coût optionnel dans l’achat d’une maison est celui de l´administrateur, une Professional que le client peut utiliser pour traiter le règlement des taxes et effectuer d’autres documents. Ce sont des professionnels indépendantes, donc dans ce cas, il n’y a pas de tarifs spécifiques ou général et ne sont généralement utilisées que lorsqu’une hypothèque est nécessaire pour acquérir la propriété. Son coût approximatif est de 300 euros.

Dépenses variables si on va demander une hypothèque:

Si l’acheteur va acquérir des logements neufs ou usés avec un crédit hypothécaire, il y a des dépenses supplémentaires que doivent être ajoutées à celles de la vente.

L’évaluation de la maison. Dans le cas où l’acheteur va demander une hypothèque, il est nécessaire de payer un évaluateur pour mettre la valeur sur le bien et que  la banque sait quel pourcentage de financement il peut se permettre. En général, les entités fournissent un montant équivalent au 80% du prix d’achat ou de la valeur évaluée, généralement fixé au plus bas. En 2017, une évaluation coûte entre 250 et 600 euros, selon l’entité qui fait l’évaluation, le type de propriété et son valeur.

Le notaire, L´enregistrement et L’IAJD, ça dépend. La signature d´un crédit hypothécaire comporte également les frais de notaire, de registre et d’IAJD. Cependant, et après de récents jugements des tribunaux, tous ne sont pas la responsabilité du client.

Certaines succursales bancaires assument déjà le coût du Registre de la Propriété et les frais de la notaire pour la signature de l’hypothèque ou au mois le 50%. Il y a quelques-uns qui paient seulement les frais de la première copie de l´acte de propriété plus celles de la copie simple en faveur de la banque. Mais en contrepartie de prendre en charge une bonne partie des dépenses, de nombreuses entités bancaires recouvrent les commissions d’ouverture des crédits hypothécaires ou exigent un taux d’intérêt plus élevé que le différentiel convenu pendant le première ou les première deux années de vie de l’hypothèque.

L´administrateur. La banque qui nous donne le crédit hypothécaire est celle qui choisit un administrateur pour gérer le travail administratif et accomplir toutes les formalités. Cette dépense, appelée «provision de fonds», implique un remboursent ultérieur en faveur du client. Parce que l´administrateur doit retourner le montant excédent d’argent et livrer les factures et les actes de propriété après avoir payé les frais du notaire, du registre et d’IAJD qui n’assume pas votre institution financière.